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Entropie

À partir de 170.00 CHF

Réaction chimique

NiSO₄ + 2 C₈H₈N₂O₂→ [Ni(C₈H₈N₂O₂)₂]SO₄

Dans cette réaction, l'ion Ni²⁺ issu du NiSO₄ se coordonne avec deux molécules du ligand organique C₈H₈N₂O₂, formant un complexe de coordination stable où les ligands entourent le nickel en modifiant son environnement électronique. La couleur rouge du complexe résulte de la modification du champ de ligands autour du nickel, qui influence les transitions électroniques dans les orbitales d, modifiant ainsi l'absorption de la lumière visible selon la théorie du champ cristallin.

Dimension scientifique : Le principe d’entropie

L'entropie est une mesure thermodynamique du degré de désordre ou de dispersion de l'énergie dans un système, essentielle pour comprendre l'évolution spontanée des processus naturels, car elle quantifie la tendance des systèmes à évoluer vers des états de probabilité maximale, favorisant ainsi l'équilibre et la transformation de l'énergie.

L’œuvre "Entropie" illustre la dualité entre l'ordre et le chaos à travers une interprétation visuelle des concepts fondamentaux de la thermodynamique et de la chimie. L’entropie, une mesure du désordre ou de la dispersion de l’énergie dans un système, est centrale dans la formation de cristaux et de complexes. En chimie, lors de la cristallisation, un système hautement désordonné (solution aqueuse) évolue vers un état plus structuré et ordonné (cristal). Ce processus s'accompagne d'une réduction locale de l'entropie, même si l'entropie globale du système, incluant l'environnement, peut augmenter.

Les deux premiers principes de la thermodynamique sont fondamentaux pour comprendre les transformations énergétiques dans les systèmes physiques et chimiques :

1. Premier principe (conservation de l'énergie) : L'énergie totale d'un système isolé reste constante ; elle peut être transformée d'une forme à une autre (travail, chaleur), mais ne peut ni être créée ni détruite. Mathématiquement, cela s'exprime par :

ΔU = Q - W

où (ΔU) est la variation d'énergie interne, (Q) la chaleur échangée, et (W) le travail effectué par le système.

2. Deuxième principe (entropie et irréversibilité) : Dans tout processus spontané, l'entropie totale d'un système isolé augmente ou reste constante à l'équilibre (ΔS ≥ 0). Cela reflète la tendance naturelle des systèmes à évoluer vers des états de désordre ou de probabilité maximale, rendant les processus irréversibles.

Vision artistique et symbole ENTROPIE

Entropie est une métaphore visuelle du grand équilibre dynamique de l’univers : entre ordre et chaos, structure et énergie, fixation et mouvement. À première vue, cette œuvre évoque une planète lointaine, un astre vibrant à la frontière de deux états : cristallin et brûlant. Mais au-delà de l’image, elle porte un message universel : notre existence, comme l’univers, est faite pour s'étendre, pour évoluer, pour traverser des phases d’instabilité féconde. Les zones structurées de l'œuvre symbolisent l’ordre initial, celui qui permet l’émergence de formes, de repères. Les fractures rouges, vibrantes, incarnent l’inévitable poussée de l’expansion, où les anciennes formes se fissurent pour laisser jaillir une dynamique nouvelle. Dans cette tension entre stabilité et mouvement, Entropie nous rappelle que la croissance de l’univers est aussi une croissance intérieure : Chaque être humain, chaque conscience, porte en lui la mémoire du Big Bang, une impulsion profonde qui le pousse, malgré les résistances, à se transformer, à créer, à se réinventer. Ce que nous appelons "désordre" n'est que le passage vers un ordre plus vaste, encore invisible. Ainsi, Entropie n’est pas le récit d'une fin, mais celui d’une renaissance permanente : Un hommage au mouvement fondamental qui anime l'univers depuis son origine, et qui murmure en nous l'appel à nous épandre, à créer, à évoluer ainsi.

Lecture écologique de l’œuvre Entropie

L’œuvre Entropie peut être interprétée comme une représentation symbolique de l’état critique dans lequel se trouve notre planète. La composition visuelle oppose deux zones distinctes : une zone rouge, dense, saturée, et une zone bleutée, plus structurée et calme. Ce contraste peut être lu comme une métaphore des déséquilibres écologiques actuels. Le rouge évoque la surchauffe de la planète, les incendies massifs, la pollution atmosphérique, les guerres pour les ressources, et plus largement l’impact destructeur d’un système fondé sur l’exploitation illimitée de l’énergie et de la matière. Il symbolise une Terre soumise à une entropie accélérée par l’activité humaine, où la dégradation s’intensifie. Le bleu, en revanche, représente les zones encore préservées : les réserves d’eau douce, la glace, les écosystèmes fragiles, et plus généralement l’ordre naturel. Cette partie, visuellement minoritaire, souligne la fragilité croissante du vivant, menacé par des processus irréversibles. L’œuvre traduit ainsi un déséquilibre thermodynamique et systémique : là où la nature tend vers l’équilibre, les activités humaines introduisent une entropie artificielle, rapide, non compensée, menaçant les capacités autorégulatrices du système Terre.

En tant qu’artiste scientifique, je considère que représenter ce déséquilibre n’est pas une posture esthétique, mais une nécessité intellectuelle.

Description

  • Titre : Entropie

  • Substance Chimique: C₈H₁₄N₄NiO₄

  • Support : Tirage haute définition sur aluminium Dibond ChromaLuxe HD.

  • Finition : Surface brillante avec une résolution exceptionnelle, offrant des couleurs vibrantes et des détails précis.

  • Matériau : Plaque aluminium ultra-légère, rigide et résistante.

  • Durabilité : Résistance aux rayures, à la lumière UV et à l'humidité, garantissant une qualité et une longévité optimale.

  • Accroche : Système d'accrochage en raille inclus pour une présentation élégante et flottante au mur.

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Réaction chimique

NiSO₄ + 2 C₈H₈N₂O₂→ [Ni(C₈H₈N₂O₂)₂]SO₄

Dans cette réaction, l'ion Ni²⁺ issu du NiSO₄ se coordonne avec deux molécules du ligand organique C₈H₈N₂O₂, formant un complexe de coordination stable où les ligands entourent le nickel en modifiant son environnement électronique. La couleur rouge du complexe résulte de la modification du champ de ligands autour du nickel, qui influence les transitions électroniques dans les orbitales d, modifiant ainsi l'absorption de la lumière visible selon la théorie du champ cristallin.

Dimension scientifique : Le principe d’entropie

L'entropie est une mesure thermodynamique du degré de désordre ou de dispersion de l'énergie dans un système, essentielle pour comprendre l'évolution spontanée des processus naturels, car elle quantifie la tendance des systèmes à évoluer vers des états de probabilité maximale, favorisant ainsi l'équilibre et la transformation de l'énergie.

L’œuvre "Entropie" illustre la dualité entre l'ordre et le chaos à travers une interprétation visuelle des concepts fondamentaux de la thermodynamique et de la chimie. L’entropie, une mesure du désordre ou de la dispersion de l’énergie dans un système, est centrale dans la formation de cristaux et de complexes. En chimie, lors de la cristallisation, un système hautement désordonné (solution aqueuse) évolue vers un état plus structuré et ordonné (cristal). Ce processus s'accompagne d'une réduction locale de l'entropie, même si l'entropie globale du système, incluant l'environnement, peut augmenter.

Les deux premiers principes de la thermodynamique sont fondamentaux pour comprendre les transformations énergétiques dans les systèmes physiques et chimiques :

1. Premier principe (conservation de l'énergie) : L'énergie totale d'un système isolé reste constante ; elle peut être transformée d'une forme à une autre (travail, chaleur), mais ne peut ni être créée ni détruite. Mathématiquement, cela s'exprime par :

ΔU = Q - W

où (ΔU) est la variation d'énergie interne, (Q) la chaleur échangée, et (W) le travail effectué par le système.

2. Deuxième principe (entropie et irréversibilité) : Dans tout processus spontané, l'entropie totale d'un système isolé augmente ou reste constante à l'équilibre (ΔS ≥ 0). Cela reflète la tendance naturelle des systèmes à évoluer vers des états de désordre ou de probabilité maximale, rendant les processus irréversibles.

Vision artistique et symbole ENTROPIE

Entropie est une métaphore visuelle du grand équilibre dynamique de l’univers : entre ordre et chaos, structure et énergie, fixation et mouvement. À première vue, cette œuvre évoque une planète lointaine, un astre vibrant à la frontière de deux états : cristallin et brûlant. Mais au-delà de l’image, elle porte un message universel : notre existence, comme l’univers, est faite pour s'étendre, pour évoluer, pour traverser des phases d’instabilité féconde. Les zones structurées de l'œuvre symbolisent l’ordre initial, celui qui permet l’émergence de formes, de repères. Les fractures rouges, vibrantes, incarnent l’inévitable poussée de l’expansion, où les anciennes formes se fissurent pour laisser jaillir une dynamique nouvelle. Dans cette tension entre stabilité et mouvement, Entropie nous rappelle que la croissance de l’univers est aussi une croissance intérieure : Chaque être humain, chaque conscience, porte en lui la mémoire du Big Bang, une impulsion profonde qui le pousse, malgré les résistances, à se transformer, à créer, à se réinventer. Ce que nous appelons "désordre" n'est que le passage vers un ordre plus vaste, encore invisible. Ainsi, Entropie n’est pas le récit d'une fin, mais celui d’une renaissance permanente : Un hommage au mouvement fondamental qui anime l'univers depuis son origine, et qui murmure en nous l'appel à nous épandre, à créer, à évoluer ainsi.

Lecture écologique de l’œuvre Entropie

L’œuvre Entropie peut être interprétée comme une représentation symbolique de l’état critique dans lequel se trouve notre planète. La composition visuelle oppose deux zones distinctes : une zone rouge, dense, saturée, et une zone bleutée, plus structurée et calme. Ce contraste peut être lu comme une métaphore des déséquilibres écologiques actuels. Le rouge évoque la surchauffe de la planète, les incendies massifs, la pollution atmosphérique, les guerres pour les ressources, et plus largement l’impact destructeur d’un système fondé sur l’exploitation illimitée de l’énergie et de la matière. Il symbolise une Terre soumise à une entropie accélérée par l’activité humaine, où la dégradation s’intensifie. Le bleu, en revanche, représente les zones encore préservées : les réserves d’eau douce, la glace, les écosystèmes fragiles, et plus généralement l’ordre naturel. Cette partie, visuellement minoritaire, souligne la fragilité croissante du vivant, menacé par des processus irréversibles. L’œuvre traduit ainsi un déséquilibre thermodynamique et systémique : là où la nature tend vers l’équilibre, les activités humaines introduisent une entropie artificielle, rapide, non compensée, menaçant les capacités autorégulatrices du système Terre.

En tant qu’artiste scientifique, je considère que représenter ce déséquilibre n’est pas une posture esthétique, mais une nécessité intellectuelle.

Description

  • Titre : Entropie

  • Substance Chimique: C₈H₁₄N₄NiO₄

  • Support : Tirage haute définition sur aluminium Dibond ChromaLuxe HD.

  • Finition : Surface brillante avec une résolution exceptionnelle, offrant des couleurs vibrantes et des détails précis.

  • Matériau : Plaque aluminium ultra-légère, rigide et résistante.

  • Durabilité : Résistance aux rayures, à la lumière UV et à l'humidité, garantissant une qualité et une longévité optimale.

  • Accroche : Système d'accrochage en raille inclus pour une présentation élégante et flottante au mur.

Réaction chimique

NiSO₄ + 2 C₈H₈N₂O₂→ [Ni(C₈H₈N₂O₂)₂]SO₄

Dans cette réaction, l'ion Ni²⁺ issu du NiSO₄ se coordonne avec deux molécules du ligand organique C₈H₈N₂O₂, formant un complexe de coordination stable où les ligands entourent le nickel en modifiant son environnement électronique. La couleur rouge du complexe résulte de la modification du champ de ligands autour du nickel, qui influence les transitions électroniques dans les orbitales d, modifiant ainsi l'absorption de la lumière visible selon la théorie du champ cristallin.

Dimension scientifique : Le principe d’entropie

L'entropie est une mesure thermodynamique du degré de désordre ou de dispersion de l'énergie dans un système, essentielle pour comprendre l'évolution spontanée des processus naturels, car elle quantifie la tendance des systèmes à évoluer vers des états de probabilité maximale, favorisant ainsi l'équilibre et la transformation de l'énergie.

L’œuvre "Entropie" illustre la dualité entre l'ordre et le chaos à travers une interprétation visuelle des concepts fondamentaux de la thermodynamique et de la chimie. L’entropie, une mesure du désordre ou de la dispersion de l’énergie dans un système, est centrale dans la formation de cristaux et de complexes. En chimie, lors de la cristallisation, un système hautement désordonné (solution aqueuse) évolue vers un état plus structuré et ordonné (cristal). Ce processus s'accompagne d'une réduction locale de l'entropie, même si l'entropie globale du système, incluant l'environnement, peut augmenter.

Les deux premiers principes de la thermodynamique sont fondamentaux pour comprendre les transformations énergétiques dans les systèmes physiques et chimiques :

1. Premier principe (conservation de l'énergie) : L'énergie totale d'un système isolé reste constante ; elle peut être transformée d'une forme à une autre (travail, chaleur), mais ne peut ni être créée ni détruite. Mathématiquement, cela s'exprime par :

ΔU = Q - W

où (ΔU) est la variation d'énergie interne, (Q) la chaleur échangée, et (W) le travail effectué par le système.

2. Deuxième principe (entropie et irréversibilité) : Dans tout processus spontané, l'entropie totale d'un système isolé augmente ou reste constante à l'équilibre (ΔS ≥ 0). Cela reflète la tendance naturelle des systèmes à évoluer vers des états de désordre ou de probabilité maximale, rendant les processus irréversibles.

Vision artistique et symbole ENTROPIE

Entropie est une métaphore visuelle du grand équilibre dynamique de l’univers : entre ordre et chaos, structure et énergie, fixation et mouvement. À première vue, cette œuvre évoque une planète lointaine, un astre vibrant à la frontière de deux états : cristallin et brûlant. Mais au-delà de l’image, elle porte un message universel : notre existence, comme l’univers, est faite pour s'étendre, pour évoluer, pour traverser des phases d’instabilité féconde. Les zones structurées de l'œuvre symbolisent l’ordre initial, celui qui permet l’émergence de formes, de repères. Les fractures rouges, vibrantes, incarnent l’inévitable poussée de l’expansion, où les anciennes formes se fissurent pour laisser jaillir une dynamique nouvelle. Dans cette tension entre stabilité et mouvement, Entropie nous rappelle que la croissance de l’univers est aussi une croissance intérieure : Chaque être humain, chaque conscience, porte en lui la mémoire du Big Bang, une impulsion profonde qui le pousse, malgré les résistances, à se transformer, à créer, à se réinventer. Ce que nous appelons "désordre" n'est que le passage vers un ordre plus vaste, encore invisible. Ainsi, Entropie n’est pas le récit d'une fin, mais celui d’une renaissance permanente : Un hommage au mouvement fondamental qui anime l'univers depuis son origine, et qui murmure en nous l'appel à nous épandre, à créer, à évoluer ainsi.

Lecture écologique de l’œuvre Entropie

L’œuvre Entropie peut être interprétée comme une représentation symbolique de l’état critique dans lequel se trouve notre planète. La composition visuelle oppose deux zones distinctes : une zone rouge, dense, saturée, et une zone bleutée, plus structurée et calme. Ce contraste peut être lu comme une métaphore des déséquilibres écologiques actuels. Le rouge évoque la surchauffe de la planète, les incendies massifs, la pollution atmosphérique, les guerres pour les ressources, et plus largement l’impact destructeur d’un système fondé sur l’exploitation illimitée de l’énergie et de la matière. Il symbolise une Terre soumise à une entropie accélérée par l’activité humaine, où la dégradation s’intensifie. Le bleu, en revanche, représente les zones encore préservées : les réserves d’eau douce, la glace, les écosystèmes fragiles, et plus généralement l’ordre naturel. Cette partie, visuellement minoritaire, souligne la fragilité croissante du vivant, menacé par des processus irréversibles. L’œuvre traduit ainsi un déséquilibre thermodynamique et systémique : là où la nature tend vers l’équilibre, les activités humaines introduisent une entropie artificielle, rapide, non compensée, menaçant les capacités autorégulatrices du système Terre.

En tant qu’artiste scientifique, je considère que représenter ce déséquilibre n’est pas une posture esthétique, mais une nécessité intellectuelle.

Description

  • Titre : Entropie

  • Substance Chimique: C₈H₁₄N₄NiO₄

  • Support : Tirage haute définition sur aluminium Dibond ChromaLuxe HD.

  • Finition : Surface brillante avec une résolution exceptionnelle, offrant des couleurs vibrantes et des détails précis.

  • Matériau : Plaque aluminium ultra-légère, rigide et résistante.

  • Durabilité : Résistance aux rayures, à la lumière UV et à l'humidité, garantissant une qualité et une longévité optimale.

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Helnium “Quand la chimie dévoile l’art de l’univers”

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