La Chute d'Icare
Description scientifique
L’œuvre est issue de la cristallisation de l’acide benzoïque (C₆H₅COOH), un acide carboxylique aromatique utilisé en industrie comme conservateur (E210), antifongique et intermédiaire de synthèse. C’est une molécule modèle en chimie organique.
Structure moléculaire : L’acide benzoïque est constitué d’un noyau benzénique (cycle aromatique C₆H₅–) lié à un groupe carboxyle (–COOH).
Cette structure lui confère :
une rigidité plane (du fait de la conjugaison π du cycle),
une acidité modérée (pKa ≈ 4.2), due à la stabilisation de l’anion benzoate par résonance,
une capacité à établir des liaisons hydrogène fortes via son groupe carboxyle.
Organisation cristalline
À l’état solide, l’acide benzoïque cristallise dans le système triclinique. Les molécules s’associent deux à deux pour former des dimères symétriques par liaisons hydrogène O–H···O, stabilisant l’ensemble du réseau. Les interactions de van der Waals entre cycles aromatiques, ainsi que les forces dipolaires des groupements carboxyles, organisent les molécules en réseaux denses mais directionnels, sensibles à la température, à la polarité du solvant et à l’environnement externe.
Description Artistique et Mythologique
Cette œuvre cristalline s’inspire du mythe d’Icare, figure emblématique de la mythologie grecque. Fils de Dédale, Icare tente de s’échapper du labyrinthe en s’élevant dans les airs grâce à des ailes construites de plumes et de cire. Grisé par l’altitude, il s’approche trop près du Soleil, la cire fond, et il chute. Traditionnellement interprété comme une mise en garde contre l’orgueil ou la désobéissance, ce mythe peut aussi être lu comme le symbole d’une quête essentielle : celle de l’absolu, de la lumière, de la connaissance, au prix d’une transformation radicale. Dans cette pièce, l’élan d’Icare semble inscrit dans la matière elle-même. Les structures cristallines en forme de plumes éclatées, la dynamique radiale désordonnée, les ruptures de symétrie : tout évoque une ascension fulgurante suivie d’un effondrement. Pourtant, au cœur de ce désordre apparent, une forme reste intacte, centrale, comme la trace résiduelle d’un regard, l’oeil d’une conscience après la chute. Cette œuvre s’inscrit donc dans une réflexion sur les liens entre élévation, rupture et transformation. À travers la matière figée, elle interroge les limites de l’élan humain : jusqu’où peut-on s’approcher de la lumière sans se perdre ? Et que reste-t-il, une fois l’équilibre rompu ?
"La Chute d’Icare" cristallise finalement cet instant de bascule où un système atteint son point critique. Elle donne forme à une tension universelle : celle entre l’aspiration à dépasser les limites et la réalité des forces qui nous ramènent au sol. Mais au cœur de cette chute, quelque chose demeure : un regard lucide, une conscience éveillée, capable d’apprendre, de transformer, et de se relever.
Description
Titre : La Chute d’Icare
Matériaux chimique: acide benzoïque (C₆H₅COOH)
Support : Tirage haute définition sur aluminium Dibond HD.
Finition : Surface brillante avec une résolution exceptionnelle, offrant des couleurs vibrantes et des détails précis.
Matériau : Plaque aluminium légère, rigide et résistante.
Durabilité : Résistance aux rayures, à la lumière UV et à l'humidité, garantissant une qualité et une longévité optimale.
Accroche : Système d'accrochage en raille inclus pour une présentation élégante et flottante au mur.
Authenticité : Ce tirage est numéroté et accompagné d’un certificat d’authenticité signé.
La Chute d’Icare ©
Cette œuvre est protégée par le droit d’auteur selon les conventions internationales en vigueur (Berne, OMPI). Toute reproduction, diffusion ou utilisation non autorisée est strictement interdite et passible de poursuites judiciaires. Cette œuvre est enregistrée par ProLitteris, société suisse de gestion et de légalisation des droits d'auteur.
Description scientifique
L’œuvre est issue de la cristallisation de l’acide benzoïque (C₆H₅COOH), un acide carboxylique aromatique utilisé en industrie comme conservateur (E210), antifongique et intermédiaire de synthèse. C’est une molécule modèle en chimie organique.
Structure moléculaire : L’acide benzoïque est constitué d’un noyau benzénique (cycle aromatique C₆H₅–) lié à un groupe carboxyle (–COOH).
Cette structure lui confère :
une rigidité plane (du fait de la conjugaison π du cycle),
une acidité modérée (pKa ≈ 4.2), due à la stabilisation de l’anion benzoate par résonance,
une capacité à établir des liaisons hydrogène fortes via son groupe carboxyle.
Organisation cristalline
À l’état solide, l’acide benzoïque cristallise dans le système triclinique. Les molécules s’associent deux à deux pour former des dimères symétriques par liaisons hydrogène O–H···O, stabilisant l’ensemble du réseau. Les interactions de van der Waals entre cycles aromatiques, ainsi que les forces dipolaires des groupements carboxyles, organisent les molécules en réseaux denses mais directionnels, sensibles à la température, à la polarité du solvant et à l’environnement externe.
Description Artistique et Mythologique
Cette œuvre cristalline s’inspire du mythe d’Icare, figure emblématique de la mythologie grecque. Fils de Dédale, Icare tente de s’échapper du labyrinthe en s’élevant dans les airs grâce à des ailes construites de plumes et de cire. Grisé par l’altitude, il s’approche trop près du Soleil, la cire fond, et il chute. Traditionnellement interprété comme une mise en garde contre l’orgueil ou la désobéissance, ce mythe peut aussi être lu comme le symbole d’une quête essentielle : celle de l’absolu, de la lumière, de la connaissance, au prix d’une transformation radicale. Dans cette pièce, l’élan d’Icare semble inscrit dans la matière elle-même. Les structures cristallines en forme de plumes éclatées, la dynamique radiale désordonnée, les ruptures de symétrie : tout évoque une ascension fulgurante suivie d’un effondrement. Pourtant, au cœur de ce désordre apparent, une forme reste intacte, centrale, comme la trace résiduelle d’un regard, l’oeil d’une conscience après la chute. Cette œuvre s’inscrit donc dans une réflexion sur les liens entre élévation, rupture et transformation. À travers la matière figée, elle interroge les limites de l’élan humain : jusqu’où peut-on s’approcher de la lumière sans se perdre ? Et que reste-t-il, une fois l’équilibre rompu ?
"La Chute d’Icare" cristallise finalement cet instant de bascule où un système atteint son point critique. Elle donne forme à une tension universelle : celle entre l’aspiration à dépasser les limites et la réalité des forces qui nous ramènent au sol. Mais au cœur de cette chute, quelque chose demeure : un regard lucide, une conscience éveillée, capable d’apprendre, de transformer, et de se relever.
Description
Titre : La Chute d’Icare
Matériaux chimique: acide benzoïque (C₆H₅COOH)
Support : Tirage haute définition sur aluminium Dibond HD.
Finition : Surface brillante avec une résolution exceptionnelle, offrant des couleurs vibrantes et des détails précis.
Matériau : Plaque aluminium légère, rigide et résistante.
Durabilité : Résistance aux rayures, à la lumière UV et à l'humidité, garantissant une qualité et une longévité optimale.
Accroche : Système d'accrochage en raille inclus pour une présentation élégante et flottante au mur.
Authenticité : Ce tirage est numéroté et accompagné d’un certificat d’authenticité signé.
La Chute d’Icare ©
Cette œuvre est protégée par le droit d’auteur selon les conventions internationales en vigueur (Berne, OMPI). Toute reproduction, diffusion ou utilisation non autorisée est strictement interdite et passible de poursuites judiciaires. Cette œuvre est enregistrée par ProLitteris, société suisse de gestion et de légalisation des droits d'auteur.
Description scientifique
L’œuvre est issue de la cristallisation de l’acide benzoïque (C₆H₅COOH), un acide carboxylique aromatique utilisé en industrie comme conservateur (E210), antifongique et intermédiaire de synthèse. C’est une molécule modèle en chimie organique.
Structure moléculaire : L’acide benzoïque est constitué d’un noyau benzénique (cycle aromatique C₆H₅–) lié à un groupe carboxyle (–COOH).
Cette structure lui confère :
une rigidité plane (du fait de la conjugaison π du cycle),
une acidité modérée (pKa ≈ 4.2), due à la stabilisation de l’anion benzoate par résonance,
une capacité à établir des liaisons hydrogène fortes via son groupe carboxyle.
Organisation cristalline
À l’état solide, l’acide benzoïque cristallise dans le système triclinique. Les molécules s’associent deux à deux pour former des dimères symétriques par liaisons hydrogène O–H···O, stabilisant l’ensemble du réseau. Les interactions de van der Waals entre cycles aromatiques, ainsi que les forces dipolaires des groupements carboxyles, organisent les molécules en réseaux denses mais directionnels, sensibles à la température, à la polarité du solvant et à l’environnement externe.
Description Artistique et Mythologique
Cette œuvre cristalline s’inspire du mythe d’Icare, figure emblématique de la mythologie grecque. Fils de Dédale, Icare tente de s’échapper du labyrinthe en s’élevant dans les airs grâce à des ailes construites de plumes et de cire. Grisé par l’altitude, il s’approche trop près du Soleil, la cire fond, et il chute. Traditionnellement interprété comme une mise en garde contre l’orgueil ou la désobéissance, ce mythe peut aussi être lu comme le symbole d’une quête essentielle : celle de l’absolu, de la lumière, de la connaissance, au prix d’une transformation radicale. Dans cette pièce, l’élan d’Icare semble inscrit dans la matière elle-même. Les structures cristallines en forme de plumes éclatées, la dynamique radiale désordonnée, les ruptures de symétrie : tout évoque une ascension fulgurante suivie d’un effondrement. Pourtant, au cœur de ce désordre apparent, une forme reste intacte, centrale, comme la trace résiduelle d’un regard, l’oeil d’une conscience après la chute. Cette œuvre s’inscrit donc dans une réflexion sur les liens entre élévation, rupture et transformation. À travers la matière figée, elle interroge les limites de l’élan humain : jusqu’où peut-on s’approcher de la lumière sans se perdre ? Et que reste-t-il, une fois l’équilibre rompu ?
"La Chute d’Icare" cristallise finalement cet instant de bascule où un système atteint son point critique. Elle donne forme à une tension universelle : celle entre l’aspiration à dépasser les limites et la réalité des forces qui nous ramènent au sol. Mais au cœur de cette chute, quelque chose demeure : un regard lucide, une conscience éveillée, capable d’apprendre, de transformer, et de se relever.
Description
Titre : La Chute d’Icare
Matériaux chimique: acide benzoïque (C₆H₅COOH)
Support : Tirage haute définition sur aluminium Dibond HD.
Finition : Surface brillante avec une résolution exceptionnelle, offrant des couleurs vibrantes et des détails précis.
Matériau : Plaque aluminium légère, rigide et résistante.
Durabilité : Résistance aux rayures, à la lumière UV et à l'humidité, garantissant une qualité et une longévité optimale.
Accroche : Système d'accrochage en raille inclus pour une présentation élégante et flottante au mur.
Authenticité : Ce tirage est numéroté et accompagné d’un certificat d’authenticité signé.
La Chute d’Icare ©
Cette œuvre est protégée par le droit d’auteur selon les conventions internationales en vigueur (Berne, OMPI). Toute reproduction, diffusion ou utilisation non autorisée est strictement interdite et passible de poursuites judiciaires. Cette œuvre est enregistrée par ProLitteris, société suisse de gestion et de légalisation des droits d'auteur.